La plupart des gens pensent que le stockage KYC consiste simplement à sauvegarder quelques documents quelque part. Faux.
La réalité ? C’est un véritable champ de mines en termes de responsabilités. Vous êtes confronté à des questions de responsabilité qui pourraient couler une entreprise du jour au lendemain. Le chiffrement n’est pas une option : c’est une question de survie. Les exigences de conformité évoluent plus vite que les tendances du marché. La logique de vérification doit être infaillible, et les systèmes de récupération doivent trouver le juste équilibre entre sécurité et rapidité.
Il existe une solution qui affronte ce problème de front, au lieu de faire semblant qu’il est simple. L’approche ? Fractionner les données en fragments chiffrés. Aucun point de défaillance unique. Pas de pot de miel pour les attaquants.
Réfléchissez-y : lorsque les données d’identité sont distribuées et chiffrées à travers plusieurs nœuds, ce que vous faites réellement, c’est transformer une vulnérabilité centralisée en une forteresse décentralisée. Ce n’est pas simplement une ingénierie astucieuse : c’est repenser l’architecture de la confiance depuis la base.
L’infrastructure d’identité Web3 ne consiste pas à remplacer l’ancien système. Il s’agit de ne pas répéter ses erreurs.
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La plupart des gens pensent que le stockage KYC consiste simplement à sauvegarder quelques documents quelque part. Faux.
La réalité ? C’est un véritable champ de mines en termes de responsabilités. Vous êtes confronté à des questions de responsabilité qui pourraient couler une entreprise du jour au lendemain. Le chiffrement n’est pas une option : c’est une question de survie. Les exigences de conformité évoluent plus vite que les tendances du marché. La logique de vérification doit être infaillible, et les systèmes de récupération doivent trouver le juste équilibre entre sécurité et rapidité.
Il existe une solution qui affronte ce problème de front, au lieu de faire semblant qu’il est simple. L’approche ? Fractionner les données en fragments chiffrés. Aucun point de défaillance unique. Pas de pot de miel pour les attaquants.
Réfléchissez-y : lorsque les données d’identité sont distribuées et chiffrées à travers plusieurs nœuds, ce que vous faites réellement, c’est transformer une vulnérabilité centralisée en une forteresse décentralisée. Ce n’est pas simplement une ingénierie astucieuse : c’est repenser l’architecture de la confiance depuis la base.
L’infrastructure d’identité Web3 ne consiste pas à remplacer l’ancien système. Il s’agit de ne pas répéter ses erreurs.