On dirait que la France joue les durs avec ce tas de 18 milliards d’euros d’avoirs russes gelés. Alors que d’autres membres de l’UE poussent pour y puiser afin d’accorder un soi-disant « prêt de réparations », Paris met des bâtons dans les roues. Le jeu d’échecs politique ici est impressionnant : qui contrôle réellement les fonds d’État gelés, et peut-on légalement les réaffecter ? Ce n’est plus seulement une question de Russie. Cela crée un précédent qui pourrait bouleverser la manière dont les nations gèrent les avoirs sanctionnés, y compris les crypto-actifs liés à des conflits géopolitiques. Si les États membres n’arrivent pas à s’entendre sur quelque chose d’aussi colossal, imaginez le chaos lorsque des actifs numériques seront gelés à grande échelle.
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TopBuyerBottomSeller
· Il y a 7h
La lutte pour l'argent et le pouvoir est la plus mortelle.
On dirait que la France joue les durs avec ce tas de 18 milliards d’euros d’avoirs russes gelés. Alors que d’autres membres de l’UE poussent pour y puiser afin d’accorder un soi-disant « prêt de réparations », Paris met des bâtons dans les roues. Le jeu d’échecs politique ici est impressionnant : qui contrôle réellement les fonds d’État gelés, et peut-on légalement les réaffecter ? Ce n’est plus seulement une question de Russie. Cela crée un précédent qui pourrait bouleverser la manière dont les nations gèrent les avoirs sanctionnés, y compris les crypto-actifs liés à des conflits géopolitiques. Si les États membres n’arrivent pas à s’entendre sur quelque chose d’aussi colossal, imaginez le chaos lorsque des actifs numériques seront gelés à grande échelle.