En feuilletant mes anciens relevés d’investissement d’il y a dix ans, j’ai soudain pris conscience d’un fait cruel : à l’époque, si j’avais réparti 1 million dans différents paniers, aujourd’hui en les ouvrant, c’est vraiment « il y en a pour qui ça sourit, d’autres pour qui c’est la déprime ».
Les deux plus impressionnants ? Nvidia a littéralement explosé à 220 millions, et le Bitcoin n’est pas en reste, affichant 230 millions. Quand je repense à ces amis qui me conseillaient à l’époque de “ne touche pas à ces actions ou cryptos folles”, ils doivent s’en mordre les doigts aujourd’hui. Tesla est un peu plus discrète, mais 24 millions, ça fait quand même rêver. Parmi les techs, Apple fait figure de valeur sûre, avec un bilan de 11 millions, ce n’est pas ridicule non plus.
Du côté des actifs traditionnels, Kweichow Moutai tient bon avec 9 millions, sauvant l’honneur des actions chinoises. L’indice Nasdaq est monté à 5 millions ; voilà la différence de marché : les grosses capitalisations américaines font plus de quatre fois mieux que le CSI 300, qui a péniblement atteint 1,2 million.
Le plus douloureux arrive après : l’or à 3,5 millions, surpasse largement l’immobilier résidentiel des grandes villes chinoises, bloqué à 2 millions. Les années où tout le monde s’endettait à fond pour acheter, avec le recul, il aurait mieux valu stocker des lingots. Et les biens immobiliers dans les villes de troisième ou quatrième rang ? Pratiquement au point mort, 1 million, c’est juste de la monnaie.
Le pire ? Ceux qui ont mis leurs économies à la banque ou en obligations d’État : dix ans plus tard, ils n’ont que 1,3 million, même pas de quoi battre l’inflation. Les actions de la sidérurgie, c’est encore plus absurde, elles stagnent entre 800 000 et 1 million, autant dire que c’était pour rien.
À la fin du calcul, la conclusion est claire : l’or s’en sort finalement mieux que la pierre, les obligations d’État sont équivalentes à l’épargne (juste pour accompagner la course), et le Nasdaq surclasse les actions chinoises. Quant au Bitcoin et à Nvidia ? C’est un autre univers : ceux qui ont eu les moyens et l’audace sont déjà financièrement libres, les autres hésitent encore à monter à bord.
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En feuilletant mes anciens relevés d’investissement d’il y a dix ans, j’ai soudain pris conscience d’un fait cruel : à l’époque, si j’avais réparti 1 million dans différents paniers, aujourd’hui en les ouvrant, c’est vraiment « il y en a pour qui ça sourit, d’autres pour qui c’est la déprime ».
Les deux plus impressionnants ? Nvidia a littéralement explosé à 220 millions, et le Bitcoin n’est pas en reste, affichant 230 millions. Quand je repense à ces amis qui me conseillaient à l’époque de “ne touche pas à ces actions ou cryptos folles”, ils doivent s’en mordre les doigts aujourd’hui. Tesla est un peu plus discrète, mais 24 millions, ça fait quand même rêver. Parmi les techs, Apple fait figure de valeur sûre, avec un bilan de 11 millions, ce n’est pas ridicule non plus.
Du côté des actifs traditionnels, Kweichow Moutai tient bon avec 9 millions, sauvant l’honneur des actions chinoises. L’indice Nasdaq est monté à 5 millions ; voilà la différence de marché : les grosses capitalisations américaines font plus de quatre fois mieux que le CSI 300, qui a péniblement atteint 1,2 million.
Le plus douloureux arrive après : l’or à 3,5 millions, surpasse largement l’immobilier résidentiel des grandes villes chinoises, bloqué à 2 millions. Les années où tout le monde s’endettait à fond pour acheter, avec le recul, il aurait mieux valu stocker des lingots. Et les biens immobiliers dans les villes de troisième ou quatrième rang ? Pratiquement au point mort, 1 million, c’est juste de la monnaie.
Le pire ? Ceux qui ont mis leurs économies à la banque ou en obligations d’État : dix ans plus tard, ils n’ont que 1,3 million, même pas de quoi battre l’inflation. Les actions de la sidérurgie, c’est encore plus absurde, elles stagnent entre 800 000 et 1 million, autant dire que c’était pour rien.
À la fin du calcul, la conclusion est claire : l’or s’en sort finalement mieux que la pierre, les obligations d’État sont équivalentes à l’épargne (juste pour accompagner la course), et le Nasdaq surclasse les actions chinoises. Quant au Bitcoin et à Nvidia ? C’est un autre univers : ceux qui ont eu les moyens et l’audace sont déjà financièrement libres, les autres hésitent encore à monter à bord.