Michael Saylor a récemment proposé une idée intéressante : les gouvernements pourraient construire une infrastructure bancaire numérique régulée, adossée à des réserves de Bitcoin. Son argument ? Ces comptes pourraient offrir de meilleurs rendements que les systèmes traditionnels. C'est une vision audacieuse qui remet en question la manière dont les États-nations envisagent les réserves monétaires et l’architecture de la finance numérique.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
5 J'aime
Récompense
5
3
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
LiquidityWitch
· Il y a 14h
Saylor prépare quelque chose ici... des réserves de BTC soutenues par le gouvernement comme ultime rituel d’optimisation du rendement ? Je vais pas mentir, l’alchimie tient la route mais les contraintes réglementaires semblent vraiment maudites. Les dark pools de capitaux d’États-nations qui se transmutent enfin en stratégies interdites ?
Voir l'originalRépondre0
ForkThisDAO
· Il y a 14h
Saylor raconte encore des histoires. Les réserves de Bitcoin peuvent-elles vraiment surpasser le système traditionnel ? Ça sonne plutôt sexy, mais je me demande bien quel pays osera être le premier à tenter le coup.
Voir l'originalRépondre0
Blockwatcher9000
· Il y a 14h
La théorie de Saylor semble assez séduisante, mais les États vont-ils vraiment parier sur le Bitcoin pour de "meilleurs rendements" ? Qu'en est-il de la gestion des risques...
Michael Saylor a récemment proposé une idée intéressante : les gouvernements pourraient construire une infrastructure bancaire numérique régulée, adossée à des réserves de Bitcoin. Son argument ? Ces comptes pourraient offrir de meilleurs rendements que les systèmes traditionnels. C'est une vision audacieuse qui remet en question la manière dont les États-nations envisagent les réserves monétaires et l’architecture de la finance numérique.